Skip to content Skip to footer

Les Identitaires sont d’abord et avant tout un catalyseur d’énergies.

Les Identitaires se placent là où la pensée et l’action se rejoignent. Le réel est tout à la fois la source et le but de leurs productions intellectuelles ou militantes.

Vouloir comprendre le réel place au premier rang des impératifs la nécessité de peupler le débat public d’un vocabulaire qui permette de penser ce réel. En effet, penser les questions politiques ou métapolitiques avec les seuls mots de la novlangue dominante ne peut conduire qu’à l’échec. Les mots des « élites » politiques et médiatiques actuelles visent à l’acceptation de leur domination idéologique, à masquer les enjeux, à interdire de penser autrement, de penser librement.

Pour ce travail de libération, les Identitaires disposent d’une maison d’édition, les Éditions IDées, et d’un site internet accueillant l’essentiel de leur production intellectuelle.

Dans ce contexte, le développement du concept de Remigration est un axe majeur. Ce concept a été présenté, notamment, dans l’ouvrage paru en 2016 « 30 mesures pour une politique d’identité et de remigration ».

En 30 mesures, Les Identitaires démontrent qu’en politique et donc dans l’histoire des peuples et du monde, il n’y a pas de fatalité. Seule la volonté compte. Les « 30 mesures » sont une réponse concrète aux « citoyens du monde » – de gauche comme de droite – mais aussi à ceux qui, se proclamant pourtant patriotes, ont baissé la garde face au multiculturalisme, par fatalisme ou confusion idéologique. Loin des illusions de l’assimilation massive ou de l’intégration par le « vivre ensemble », nous savons que le seul moyen d’éviter le chaos qui découle mécaniquement des sociétés multiculturelles (et donc multiconflictuelles) est de promouvoir et appliquer, de manière pacifique et concertée, la remigration.

La lutte contre l’immigration, l’islamisation et l’insécurité se situe bien entendu au cœur de nos engagements et préoccupations. La dangerosité de la menace l’exige. La submersion que la France et l’Europe subissent met en danger la survie de notre civilisation. Nous vivons un moment historique. Pourtant, peu de responsables politiques en parlent et encore moins agissent. Il est indispensable de placer constamment cette question au cœur de nos messages.

La défense de notre peuple passe aussi par la défense de la cellule familiale. Aujourd’hui, elle est attaquée de toute part. Le Mariage pour Tous, la PMA sans père sont les premières étapes d’un démantèlement progressif de la famille traditionnelle comme base de la société.

La bonne santé collective de notre peuple découle en partie de sa situation matérielle. Cette dernière ne peut être atteinte que par une indépendance des secteurs économiques stratégiques et la recherche permanente de l’innovation. Un protectionnisme pragmatique doit protéger nos outils industriels d’une concurrence déloyale ou de la prédation des autres grandes puissances mondiales.

La question de l’environnement ne doit pas être subordonnée systématiquement à des impératifs économiques. La préservation de nos paysages en particulier doit être une préoccupation constante. Par ailleurs, bien qu’essentielles, elles ne doivent pas être instrumentalisées au profit d’un agenda d’extrême gauche. L’urgence climatique est parfois exagérée et rabâchée afin de mieux occulter d’autres urgences et d’autres thématiques moins politiquement correctes, comme celle de la submersion migratoire.

 

Notre civilisation. Notre peuple. Nos familles. Il est nécessaire de les défendre. Tout homme doit vivre selon son identité et transmettre ses valeurs et son héritage. S’il ne le fait pas, ce qui fait sa spécificité est voué à disparaître et sera immanquablement remplacé par d’autres hommes, d’autres cultures, d’autres identités. L’immigration massive dans les pays européens et la dénatalité qui y sévissent représentent une menace mortelle pour la continuité de notre civilisation. Le manque de dynamisme de toute l’Europe laisse la place à l’islamisation et la globalisation culturelle qui s’y développe rapidement. Pour contrer ces phénomènes mortifères, il faut entamer une renaissance culturelle et spirituelle de l’Europe. Il faut mettre fin à la phase de léthargie et inspirer une volonté de défense et d’affirmation de notre identité.

Les dirigeants de l’Union européenne sont tous issus des élites politiques, et donc souvent technocratiques, nationales : leurs actions ne diffèrent pas de celles qu’ils mènent dans leur pays respectif. Le problème de l’Union européenne est moins institutionnel que politique. Il ne s’agit pas tant d’entamer une réforme institutionnelle que de créer un profond changement idéologique. Les dogmes sont les mêmes à tous les échelons, de la mairie au Conseil européen. L’Europe doit se vivre comme une puissance et une civilisation et non comme un simple marché commun. La défense de l’identité des peuples européens et leur épanouissement doivent devenir une préoccupation centrale. Les systèmes politiques, militaires et économiques sont des moyens pour tendre vers ce but et pas des finalités en soi.

national ou avec Reconquête. Ces partis sont identifiés comme les partis les plus opposés à l’immigration par les Français et rencontrent donc des succès essentiellement grâce à ce positionnement.

L’objectif des Identitaires est d’influencer l’ensemble du champ politique, dont la droite dans toutes ses composantes avec ses différents acteurs. La prise de conscience identitaire et la nécessité d’une politique de remigration doivent devenir une évidence pour tous les Français.

Être identitaire c’est avoir pris conscience de la menace mortelle de l’invasion migratoire qui pèse sur notre civilisation et s’engager pour sa défense. Les Identitaires rassemblent donc tous ceux qui considèrent que la préservation des identités est une mission historique. L’engagement identitaire naît de l’enracinement et donc de l’idée que nous sommes le fruit d’une terre et d’une lignée, le maillon d’une chaîne. Être identitaire n’est ni un dogme ni une idéologie, mais tout au contraire un principe se fondant sur le réel, sur ce que nos pères ont été, sur ce que nous sommes et sur notre volonté d’un devenir pour nos descendants.

L’identité est constituée par la conjonction des principes de filiation et de transmission, le socle des traditions populaires et orales (dont la langue), les coutumes et les mœurs, l’acceptation d’un passé commun (l’histoire) et la volonté de vivre ensemble dans l’avenir. L’identité, c’est une certaine façon de fêter la vie, d’honorer les morts, de regarder le monde et aussi de le conter, ce qui suppose une mémoire commune.

L’identité d’un peuple est ce qui le rend incomparable et irremplaçable. Car l’identité, c’est à la fois ce qui fait que des hommes se ressemblent (et donc selon la loi naturelle indéniable se rassemblent) et ce qui différencie un homme d’un autre, un peuple d’un autre.

L’identité défendue par les Identitaires est plurielle et s’articule en plusieurs niveaux : l’identité charnelle (régionale), l’identité historique (française) et l’identité civilisationnelle (européenne). Pour nous, ces identités sont complémentaires. On peut donc, par exemple, se sentir à la fois Breton, Français et Européen, ou Dalmate, Croate et Européen ou encore Bavarois, Allemand et Européen. Chacune de ces identités renforce l’autre et constitue un ensemble organique cohérent.

Europe Écologie – les Verts est un parti d’extrême gauche bien avant d’être un parti écologiste. L’argument écologiste n’est utilisé que pour servir de cache-sexe à toutes les vieilles lubies du gauchisme soixante-huitard le plus éculé. Si vous vous penchez sur leur programme, vous découvrez que leurs priorités politiques sont la défense et la naturalisation des immigrés clandestins, donc l’encouragement des flux migratoires massifs, la dépénalisation des drogues dites « douces », la légalisation de la GPA, etc. En quoi ces prises de position sont-elles « écologistes » ? En rien. Bien au contraire même, puisqu’on comprend assez mal comment on peut se prétendre « écolo » tout en niant et combattant l’ordre naturel et la diversité du monde.

Pour que l’Europe soit une véritable force politique, culturelle, militaire et économique, la construction de l’Europe n’a de sens que si elle protège notre civilisation et ses composantes.

Défendant le principe de la France des régions dans l’Europe des peuples, nous plaidons pour l’application pleine et entière du principe de subsidiarité en matière de construction européenne : n’est délégué à l’échelon supérieur que ce qui ne peut pas être réalisé par l’échelon inférieur.

À cette condition, l’Europe pourra enfin bénéficier du dynamisme de ses régions et de l’énergie de ses peuples pour se doter d’une ambition politique à la hauteur de son héritage : une Europe fédérée et puissante, capable de faire contrepoids aux nouveaux empires et de jouer son rôle de point d’équilibre de la planète.