Comment répondre aux mensonges autour des « migrants » ?
1. Ils disent :
«Les économies européennes ont besoin des migrants».
2. Pourquoi le disent-ils :
Cet argument vise à inquiéter et culpabiliser les Européens. En expliquant que les clandestins sont nécessaires à l’augmentation de notre taux de croissance, cela implique que les Européens ne seraient pas capables sans cet apport extérieur d’avoir une économie autonome et performante. La suite de cette affirmation est d’ailleurs souvent «Ils occupent les emplois dont les Européens ne veulent pas». En sous entendant donc pour les culpabiliser que les Européens seraient fainéants. D’autre part, ces déclarations s’inscrivent dans une vision purement économiste, comme si le PIB était l’unique indicateur du bien-être d’un pays, en faisant abstraction de l’harmonie identitaire et de la qualité de vie inhérentes aux sociétés qui ne sont pas confrontées à l’immigration massive.
3. Pourquoi c’est faux :
Un rapport de l’Agence Fédérale pour l’emploi en Allemagne, paru dans le journal Junge Freiheit en octobre 2015 prévoyait pour l’année suivante que 400 000 chômeurs seraient des «migrants» clandestins fraîchement entrés illégalement dans le pays. Selon le même document, 81% des clandestins déjà arrivés en Allemagne ne posséderaient «aucune qualification». Or, plus de 80% des emplois vacants outre-Rhin exigent une qualification. De plus, seuls 8% de ces immigrés illégaux posséderaient un diplôme académique. Le verdict est sans appel : la plupart de ces étrangers sont «inemployables».
D’après un sondage effectué par le journal Frankfurter Allgemeine Zeitung le 4 avril 2016 auprès des 30 entreprises les plus riches de l’indice boursier allemand (Dax) qui emploient environ 3,5 millions de personnes, selon leurs propres indications, seulement 54 «migrants» clandestins ont été embauché, dont 50 pour la seule Poste allemande. Rappelons qu’ils sont près d’un million à être entrés en Allemagne en 2015.
Selon une note de travail de la Commission européenne et de l’OCDE publiée le 7 septembre 2016, les clandestins vivant dans l’UE mettent « jusqu’à 20 ans » pour atteindre un taux d’emploi similaire à celui des natifs de leur pays d’accueil.
Loin d’être un atout économique, les flux d’immigrés illégaux sont majoritairement constitués d’individus sans qualification qui viennent grossir les rangs des chômeurs à leur arrivée. Hébergés, entretenus par l’état et prestataires de nombreuses allocations distribuées sur le dos des contribuables européens, les «migrants» clandestins constituent avant tout un fardeau pour les économies européennes.