Tribune de Clément Martin sur le site Novopress.
Suite à l’affaire du djihadiste “français” Mehdi Nemmouche fraîchement revenu de Syrie, auteur de la tuerie de Bruxelles où 4 personnes ont perdu la vie dans un attentat sanglant, les émissions de télévision se sont succédé pour tenter de décrypter les enjeux de cette guerre menée sur le sol européen.
Comme après l’affaire Mohammed Merah, on réalise que nos services et notre gouvernement sont en réalité débordés. Ils l’avouent : les potentiels djihadistes sont trop nombreux à surveiller. Les éventuels suspects sont des centaines selon les chiffres officiels. Donc sans doute des milliers…
Romain Caillet, spécialiste des questions liées à l’islamisme, écrivait dans sa tribune du Monde le 19 Juin que l’EIIL, ce groupe djihadiste en Irak que même Al-Quaïda trouve trop extrême (!), bénéficiait sans aucun doute de “milliers de sympathisants en France”. Et on ne parle donc ici que d’un groupe terroriste, quand il en existe bien d’autres au Moyen-Orient.
Une sorte de fatalisme assumé s’est donc répandue au gré des émissions, un ancien agent de la DGSE, Alain Rodier aujourd’hui spécialiste dans la lutte contre le terrorisme allant même jusqu’à dire “Il faut que les Français et les Européens apprennent à vivre avec le risque terroriste”. Mais au fond pourquoi donc ? Pour quelle raison devrions-nous nous soumettre et accepter que notre pays devienne le terrain de jeu des islamistes ?
Parce que pour sérieusement lutter contre le danger djihadiste, il faut remettre en cause le modèle de la société multi-ethnique. Et cela, la quasi-unanimité de la classe politique ne veut pas en entendre parler.
En effet, s’il y a un risque terroriste en France, c’est en grande partie à cause de la présence massive de musulmans sur notre sol. N’en déplaise aux professionnels de la propagande qui se relaient en boucle dans les médias en nous disant que ces terroristes n’ont rien à voir avec l’islam et qu’il ne faut surtout pas tomber dans la confusion, les premiers à avoir procédé à cet amalgame ce sont les djihadistes eux-mêmes !
Or, s’il y a des musulmans en France c’est à cause de l’immigration. Le lien immigration – islam – djihad est en réalité limpide, et c’est précisément pour cela qu’il est nié par la grande majorité de notre classe politico-médiatique, toujours adepte de formules creuses, de sophismes ineptes et de paradoxes absurdes.
Mais la négation de la réalité a ses limites: elles s’appellent tantôt Mohammed Merah, tantôt Mehdi Nemmouche. Et d’autres noms suivront. Comment enrayer ce processus ? La situation est d’ores et déjà de l’aveu même des spécialistes, incontrôlable. Arrêter l’immigration ne suffira pas. Chaque jour la réalité apparaît plus crûment : l’assimilation et l’intégration sont impossibles. On ne peut pas forcer des peuples à vivre ensemble.
Le retour sur leurs terres ancestrales d’un grand nombre d’afro-maghrébins présents en France et en Europe est la seule et unique option que nous ayons pour protéger notre pays et plus largement pour préserver la paix sur notre continent. La seule solution, que nul n’ose plus formuler clairement à l’exception des identitaires, est la remigration. Bien qu’aujourd’hui tabou, le retour au pays finira par s’imposer à tous comme la seule solution pour éviter les conséquences catastrophiques de l’immigration invasion. Le Bloc Identitaire a même élaboré une batterie de 26 mesures concrètes permettant de matérialiser et d’envisager cette remigration pacifique et concertée. Il n’y a qu’ainsi que nous pourrons protéger efficacement notre civilisation.
On peut regarder le problème posé par le terrorisme islamique sous tous les angles, en finir avec la présence massive de musulmans, c’est limiter la propagation islamiste et donc le risque jihadiste. Car comme chaque peuple, nous souhaitons pouvoir vivre libre, selon nos lois et notre identité sur notre terre. Qui peut donc nous dénier ce droit ?