La mobilisation des identitaires et des habitants de Pontourny est-elle à l’origine du départ précipité du dernier islamiste du Centre de Prévention, d’Insertion et de Citoyenneté (CPIC), plus communément appelé centre de déradicalisation ? Mardi, les identitaires alertaient nos compatriotes sur l’inutilité de ce centre et réclamaient sa fermeture. Mercredi, le dernier pensionnaire en a été exclu.
Premier du genre et érigé en symbole par le gouvernement socialiste, le centre de Pontourny, ouvert en septembre dernier et prévu initialement pour une vingtaine de personnes, aura accueilli moins d’une dizaine d’islamistes. Les candidatures, effectuées sur la base du volontariat, se comptent sur les doigts des deux mains.
Pire, ce centre coûteux est inefficace est aussi contre-productif. C’est ainsi qu’Europe 1 nous apprend que le dernier pensionnaire vient d’en être exclu après sa condamnation violences et apologie du terrorisme islamiste. « Son passage [dans le centre] a eu l’effet inverse de celui recherché. L’encadrement avait noté qu’il vivait le programme comme du prosélytisme anti-islam et qu’il semblait se radicaliser davantage. Son rejet de la France tendait à s’amplifier ».
La sécurité des Français n’est pas négociable. Les identitaires réclament la fermeture définitive de ce centre, escroquerie intellectuelle et financière. Pour continuer à maintenir la pression sur les autorités, les identitaires appellent à se joindre à la manifestation organisée par l’ensemble des habitants de Pontourny et de ses environs ce samedi 11 février*.
*Départ à 10h de la salle polyvalente de Beaumont-en-Véron