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Récemment, Le Parisien a relayé une histoire devenue tristement commune dans notre pays : un couple de Français, nouvellement propriétaires d’une maison à Olainville (91) n’ont pas pu emménager à cause d’une famille de squatteurs tunisiens qui avaient pris possession des lieux[1]. Heureusement pour Laurent et Élodie, la médiatisation de leur malheur sur les réseaux sociaux a poussé à une réaction du ministre de l’Intérieur[2].

L’extrême gauche contre la propriété privée

La question du squat telle qu’on la connaît aujourd’hui remonte en France aux années 70. À l’époque, les groupes maoïstes décident de procéder de façon régulière à des occupations de logements vides pour y installer leurs militants ainsi que des réfugiés (pour beaucoup issus de la Yougoslavie). Très rapidement, la méthode prolifère, à tel point qu’elle figure aujourd’hui parmi les armes politiques les plus prisées de l’arsenal de l’extrême-gauche. Sous prétexte de soutien aux « mal-logés », les expropriations sont devenues monnaie courante. Si elles ne sont pas toutes organisées par des associations politisées, les bandes qui envahissent ces habitations bénéficient systématiquement de leur soutien.

Le discours des associations en faveur de l’occupation illégale sont toujours est bien rôdé : il s’agit de répondre, dans une logique humanitaire, à un drame social, celui du « mal-logement », en confisquant les biens des Français, systématiquement dépeints comme des nantis et des privilégiés. En réalité, le logiciel politique sous-jacent est toujours le même : pour ces militants, l’objectif est littéralement d’expulser des propriétaires français pour y placer des familles de Maghrébins et d’Africains, qui auront vite fait de transformer le lieu. Au carrefour du gauchisme primaire et de l’immigrationnisme fanatique, leur visée demeure la même : abattre la civilisation en général, et la civilisation européenne en particulier.

De l’État passif à l’État complice

Mais ces pratiques soviético-barbares ne prospèrent que par la couardise et la nullité de l’État. Si celui-ci souhaitait ne serait-ce qu’un tant soit peu protéger la propriété privée des citoyens français (une de ses fonctions premières, rappelons-le), il serait aisé d’expulser manu militari ceux qui occupent les lieux, avant de renvoyer les organisateurs en prison et les occupants dans leur pays. Après tout, les premiers sont des délinquants, les seconds des clandestins (autrement dit, des individus n’ayant aucun droit à faire valoir). Mais ici comme dans d’autres domaines, l’hégémonie culturelle gauchiste a réussi à infuser le droit et les pratiques du maintien de l’ordre. Plutôt que d’admettre l’évidence, à savoir la légitimité inexistante des occupants à voler le bien d’un citoyen français, la loi encadre ces occupations et rend de fait l’expulsion particulièrement difficile. Par exemple, la loi DALO dispose que les communes de 5 000 habitants au moins doivent mettre en place des terrains d’accueils pour les gens du voyage[3], quand bien même l’installation de ces camps se solde régulièrement par des dégradations pour les riverains. Tous les prétextes mièvres et dégoulinants d’humanitarisme sont bons pour justifier le triomphe des parasites et des éléments les plus néfastes de la société.

Le seul moyen pour le citoyen français d’espérer récupérer ce qui lui appartient de droit, c’est que son histoire fasse le tour des réseaux sociaux pour que les autorités daignent effectuer leur travail. En bonne république bananière, les représentants et les serviteurs de l’État français attendent que leur réputation personnelle soit en jeu pour passer à l’action.

Le positionnement de l’État sur la question des squats (comme sur tant d’autres) est clair : la préférence systématique de l’étranger au Français, du délinquant à l’individu honnête, du parasite à la personne productive. Plus que jamais, les Français se doivent de répéter qu’ils sont chez eux, quoi qu’en dise les officines d’extrême gauche ou les fonctionnaires amorphes. La reconquête n’est pas qu’un objectif politique abstrait et lointain, c’est une nécessité vitale pour notre quotidien.

Clément Martin

[1] https://www.leparisien.fr/essonne-91/essonne-un-couple-ne-peut-emmenager-dans-sa-nouvelle-maison-car-elle-est-squattee-par-une-famille-08-06-2022-GU6SQXRW7RCD3HKHEHLMDXM46Y.php

[2] https://twitter.com/GDarmanin/status/1534821121110974464?s=20&t=D7TAPgdVIoH05t8OB3gr_A

[3] https://www.legifrance.gouv.fr/ceta/id/CETATEXT000007567246/

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